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« Minuscule 2 : les mandibules du bout du Monde » les parcs nationaux sur le devant de la scène

Cinq ans après la sortie à succès d’un premier long-métrage intitulé « La Vallée des Fourmis Perdues », tourné dans les paysages naturels des parcs nationaux du Mercantour et des Ecrins, « Minuscule » est de retour en salles depuis le 30 janvier pour un second épisode réalisé en partie dans le Parc national de la Guadeloupe !
Remise de son succès – le film avait reçu en 2015 le César du meilleur film d’animation – la célèbre coccinelle sortie de l'imaginaire de Thomas Szabo et Hélène Giraud, s'envole bien malgré elle pour de nouvelles aventures loufoques, toujours sans paroles et toujours avec une pointe de sensibilité à la biodiversité.

Notre héroïne se retrouve en effet piégée par accident dans un colis en partance pour les Antilles. Son père, parti à sa recherche, doit faire face à une double mission : la retrouver et sauver la maison de sa nouvelle amie, la coccinelle antillaise, menacée par un chantier de construction.

Le tournage s’est déroulé pendant trois semaines pour des prises de vue en 3D dans les décors naturels de Guadeloupe depuis la cascade aux écrevisses, située au cœur du Parc national, jusqu’aux aux Saintes et Marie-Galante, en passant par Les Roches Gravées à Trois-Rivières, Bouillante et la Soufrière à Saint-Claude.

« Les parcs nationaux… En minuscule »

A l'occasion de la sortie de ce second volet, une série documentaire de trois épisodes de vingt-six minutes, réalisée par Jean-Christophe Chatton et Laurent Frapat, a été diffusée du 11 au 13 février sur Arte et disponible à la demande sur www.arte.tv.

En écho aux grands espaces naturels réels dans lesquels les personnages animés de « Minuscule » évoluent, la série propose de découvrir les parcs nationaux du Mercantour, des Écrins et de la Guadeloupe, avec la complicité des personnages du film d’animation.

« Les apparitions décalées des « minuscules », ces insectes en images de synthèse mêlés à des images réelles, contribuent à l’humour et la poésie de ces découvertes de nos plus beaux parcs nationaux » indiquent les créateurs de la série. « Ils offrent des transitions ludiques et nous mettent à l’échelle des plus petits êtres vivants de la planète pour révéler la nature des parcs dans toute sa splendeur et diversité » précisent-ils encore.

L’aventure « Minuscule » dans les parcs nationaux se poursuit donc et semble promise à un bel avenir.


> Pour en savoir plus sur la série documentaire Arte
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Affiche du film Minuscule 2, réalisé en partie dans le Parc national de la Guadeloupe